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Le Cabinet envisage un plan de 91 millions d’euros pour les médecins généralistes et pharmaciens pour vacciner 1,5 million de personnes

Les médecins généralistes et pharmaciens devraient recevoir près de 91 millions d’euros pour vacciner 1,5 million de personnes dans le cadre d’un plan qui sera examiné par le Cabinet mardi.

L’accord couvrirait l’administration du vaccin dans les cabinets de médecins généralistes, les locaux potentiellement plus grands dans des localités telles que les salles de sport ou paroissiales et dans les centres de vaccination de masse à établir par le HSE.

Le nouveau système, s’il était convenu, entrerait en vigueur dès que possible après l’approbation du vaccin AstraZeneca Covid-19 par les autorités réglementaires de l’UE et la livraison des fournitures à l’Irlande, éventuellement fin janvier ou début février.

Dans le cadre du nouvel accord proposé, les médecins généralistes et les pharmaciens recevraient 25 € pour l’administration de chaque dose de vaccin dans leurs cabinets ou dans des centres de leur localité. Des frais de traitement supplémentaires de 10 € seraient payés par patient. Pour un vaccin à deux doses, tel que celui produit par AstraZeneca, la redevance totale payée serait de 60 €.

Si un vaccin à dose unique est approuvé par la suite, le montant total payé aux médecins généralistes serait de 35 €.

Tarif horaire

Les médecins généralistes qui participent à des centres de vaccination de masse plus importants à créer par le HSE recevraient une rémunération horaire de 120 €.

Les pharmaciens qui participent à de telles cliniques de vaccination de masse toucheraient une redevance de 70 € de l’heure, sera informé le Cabinet.

Le nouvel accord devrait durer six mois et serait ensuite revu.

Par ailleurs, le ministre de la Santé, Stephen Donnelly, devrait dire au Cabinet mardi qu’un examen du ministère de la Santé effectué en novembre n’a trouvé aucune preuve à l’appui des allégations selon lesquelles des étudiantes infirmières auraient été exploitées lors de leurs stages dans les hôpitaux.

L’examen a également révélé que les inconvénients de la conversion des stages d’infirmières en postes d’assistants de santé dans les hôpitaux l’emporteraient sur les avantages. Cependant, une option pour un tel régime, qui a été introduite pendant plusieurs mois au printemps dernier par le ministre de la Santé de l’époque, Simon Harris, devrait être conservée, selon l’étude.

Placements cliniques

Samedi, M. Donnelly a mis fin aux stages cliniques des étudiants dans les hôpitaux pendant au moins les deux prochaines semaines afin de libérer le personnel de formation pour qu’il revienne aux rôles de première ligne.

Avant Noël, on prétendait que les étudiantes infirmières étaient exploitées à la fois en termes de salaire et en fonction des tâches qu’on leur demandait d’accomplir.

L’Organisation irlandaise des infirmières et des sages-femmes a déclaré qu’en octobre, les étudiantes infirmières étaient «effectivement invitées à travailler en tant que personnel sans rémunération».

Le Taoiseach Micheál Martin a déclaré en décembre, sur la base des inquiétudes soulevées par les députés de l’opposition, que des enquêtes devraient être menées par le HSE si des étudiantes infirmières sont «exploitées ou maltraitées» en leur demandant de travailler en dehors de leur formation.

Il a dit que si les infirmières étaient inscrites pour un quart de 13 heures ou un quart de 10 heures, elles devraient être rémunérées et qu’aucun étudiant de première année ne devrait traiter un patient Covid.

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