Le 11 mars marque le premier décès signalé d’une personne dans la République avec Covid-19. Nous nous sentons tous obligés de vivre une année dans une crise extraordinaire. Mais personne ne peut ressentir cela plus que les endeuillés de Covid, qui vivent chaque jour un chagrin né de la perte ultime.
Il me manque peut-être quelque chose, mais je n’ai rien entendu à propos d’un événement commémoratif national. Je n’ai vu aucun plan pour une journée du souvenir en Irlande. Je n’ai pas lu ce qui va se passer à Croke Park, au Garden of Remembrance ou au Dublin Castle. En parlant à des amis du secteur des événements en direct ou à ceux qui produisent des événements à grande échelle pour la diffusion, je ne suis pas au courant qu’une telle production se produit. Peut-être que l’un se matérialisera. Peut-être qu’une grande occasion de commémoration est dans les dernières étapes de la planification et est gardée secrète. Peut-être que cela nous réunira à nouveau dans un moment de réflexion, et offrira une pause dans le tourbillon actuel de frustration et d’angoisse.